dimanche 6 octobre 2013

Laïcité



Laîcité! Si tu savais toutes les intrigues et toutes les imbécilités que l'on commet en ton nom!
Et maintenant tu as ton observatoire! Un de plus pour caser quelques amis politiques et  émettre des idées inutiles et incongrues!

Tes pseudos partisans viennent de lancer une nouvelle idée, remplacer dans le calendrier deux fêtes catholiques par le Yum Kippour juif et l'Aît musulman, rien que celà!  C'est quand même un paradoxe de voir les fanatiques de la laîcité vouloir interférer dans les pratiques religieuses alors qu'ils devraient s'imposer la plus stricte neutralité.

Personne ne comprend cette démagogie religieuse alors que les adeptes de ces deux communautés, très minoritaires en France, ne demandent absolument rien!

Et pourquoi ne prendre en compte que ces deux autres religions, alors que d'autres  sont pratiquées en France, à commencer par le protestantisme? S'agit-il de créer des religions d'Etat comme cela existe dans d'autres pays? Notre laïcité ne s'en remettrait pas!

Et pourquoi ne pas aussi décider que les Musulmans auront dorénavant obligatoirement au travail le Vendredi libre et les Juifs le Samedi?

Les Français, croyants ou non, sont très attachés à leurs  traditions, à leurs fêtes chômées, héritages de la nuit des temps, et qui rythment leur calendrier chaque année et leur vie en société. Ils refuseront ce changement avec brutalité comme ils l'ont fait lors de la tentative de suppression du Lundi de Pentecôte qui, lui, n'a même pas de signification religieuse.

Ils y verront une basse manoeuvre pour islamiser un peu plus la société Française et empêcheront cette réformette. C'est un comble de constater que puisque nous n'arrivons pas à intégrer les populations immigrées, qui très souvent ne font aucun effort, de petits esprits puissent proposer que ce soient les Français qui doivent s'adapter!

D'autres y verront une nouvelle tentative de déstabilisation de notre vieille société par un gouvernement de gauche qui s'acharne à jouer les apprentis sorciers pour supprimer ses traditions et surtout ses repères.

Nos fanatiques de la laïcité ne se rendent même pas compte, lorsqu'ils mettent en avant de la scène la religion musulmane, que celle-ci peut devenir un jour démographiquement majoritaire dans notre pays, et que le concept même de laïcité alors disparaitra. S'ils n'en sont pas convaincus, qu'ils se rendent donc dans les pays de culture musulmane!

 Nous vivons depuis plus de cent ans avec un concept de laïcité inscrit dans la loi et qui a permis aux diverses communautés religieuses de vivre dans une société apaisée. Il faut que cela perdure! Ne laissons pas quelques irresponsables en quête d'originalité ou de modernisme démagogique semer la pagaille dans notre pays!

Voilà un nouveau débat écran de fumée destiné à nous faire oublier les tristes réalités économiques de notre pays, que certains propos optimistes ou fallacieux actuels ne peuvent masquer.

mercredi 11 septembre 2013

Le joueur d'échecs du Kremlin


Wladimir Poutine vient de rappeler au monde que la Russie lui a fourni ses meilleurs joueurs d'échecs. La manière dont il "masterminde" les relations politiques internationales est en effet remarquable et les Chefs d'états occidentaux se font manipuler à cause de leur naïveté mais aussi des erreurs qu'ils commettent en sous-estimant l'adversaire.

Après la chute de l'Union Soviétique, au lieu de tendre la main à la nouvelle Russie, les Pays occidentaux ont tout fait pour tenter de réduire son importance, voire même de l'humilier par des manoeuvres diverses  comme l'intégration des anciens pays de l'est dans l'OTAN ou dans la communauté Européenne, ou le projet d'installation d'une base anti missiles à proximité de ses frontières. Tout à été fait pour isoler la Russie politiquement!

En réaction, le jeu de Poutine depuis bientôt 20 ans consiste à démontrer que son pays est toujours une grande puissance et ceci en prenant des positions politiques qui agacent les Occidentaux.
Il a l'art de savoir exploiter toutes les situations. Le sommet récent du G20 en est un bon exemple.

Poutine le préside chez lui à Saint Petersbourg, devant un President Américain obligé de faire profil bas à cause de Snowden, qui a révélé les pratiques d'espionnage des USA, et que le Président Russe à accueilli dans son pays. Il ne lâche rien sur l'intervention militaire en Syrie à laquelle il s'est fortement opposé, mais au contraire montre que ce sont les Occidentaux qui sont isolés et divisés politiquement sur ce sujet.

Le sommet terminé, les USA et la France attendent les feux verts parlementaires, qu'ils ne sont pas certains d'obtenir contre leurs opinions publiques respectives, pour intervenir seuls en Syrie et punir ce pays d'avoir utilisé des armes chimiques. L'ami Poutine fait alors la proposition alternative de convaincre la Syrie de détruire ce type d'armes et offre même de superviser l'opération.

Hollande et Obama saisissent immédiatement la perche tendue, ravis que leur partenaire Russe leur permette de sauver la face, et bien sûr en prétendant que c'est leur fermeté qui a rendu possible cette proposition! La Syrie, elle, ne réagit pas, elle est ravie de voir s'éloigner une intervention militaire extérieure éventuelle.

L'avantage du grand joueur d'échecs est qu'il joue plusieurs coups d'avance.  La destruction des armes nécessite beaucoup de préparation et beaucoup de temps, la Syrie en effet possède l'un des stocks d'armes chimiques les plus importants au monde. Donc pour l'instant on gagne du temps pour éviter des bombardements à son allié Syrien, qui pourra ainsi continuer tranquillement ses massacres!

Quand viendra le jour ou l'on devra rentrer concrètement dans le démantèlement des armements chimiques, la Syrie pourra alors toujours le refuser en arguant du fait qu'elle a accumulé ces armes pour se défendre contre l'armement nucléaire Israélien, et poser comme condition que son voisin  détruise lui aussi ses armes de destruction massive......

Voilà, bravo, bien joué Maître!
   

mardi 3 septembre 2013

La Syrie


Faut-il intervenir en Syrie ? Au delà des gesticulations médiatiques de quelques leaders de ce monde qui montrent qu’un vrai problème se pose, il convient d’analyser les raisons pour et contre une action militaire.

Le pour d’abord : l’utilisation d’armes chimiques est inadmissible et contraire aux engagements internationaux. On se sent tous obligés de réagir devant ces massacres et de ne pas laisser croire que cette utilisation restera impunie, faute de quoi on pourrait voir rapidement une prolifération de ces armes, dangereuse pour le monde entier.

Mais malheureusement les raisons contre une intervention de la France sont nombreuses. D’abord une action sans l’accord de l’ONU serait totalement illégale, nous sommes bien placés pour le savoir, nous qui avons critiqué si fortement celle de George Bush en Irak il y a peu.

Ensuite, même si on le dénie, une intervention mettrait en péril le gouvernement Syrien et il faudrait vraiment être optimiste pour imaginer que ses successeurs apporteraient une amélioration dans ce pays. On peut craindre en effet qu’un chaos s'ensuivrait sans que l’on puisse en mesurer les conséquences, et qui pourrait mettre tout le Moyen Orient à feu et à sang.

La Syrie riposterait et pourrait bien se venger sur Israël qui aussitôt riposterait exagérément suscitant des réactions hostiles dans l’ensemble des pays arabes, et créant une situation totalement incontrôlable. Les risques d’attentats terroristes augmenteraient d'autre part surement pour nous.

On ignore comment les Russes, opposés à toute intervention, réagiraient, eux qui ont une base militaire sur les côtes syriennes. Est-il question que nos missiles la survolent et que se passerait-il s’ils étaient interceptés sur ordre de Poutine ?

Nos missiles immanquablement auraient pour conséquence des dégâts collatéraux et tueraient des civils! Comment justifier cela aux familles des victimes ? En expliquant que l’on tue des innocents avec des armes « propres » pour punir ceux qui ont tué des innocents avec des armes « sales »?

Et puis cette guerre Syrienne ressemble fort, une fois de plus, à une guerre de religion entre Sunnites et Chiites. Pourquoi s’en mêler ? Voulons nous associer nos efforts aux forces d’ Al Quaeda qui soutiennent les rebelles Sunnites ?

Lors de leur dernière intervention au Moyen Orient, les Occidentaux ont subi un énorme fiasco en intervenant sans raison en Irak, en déstabilisant un pays en paix et en laissant se propager, après leur départ, une guerre civile qui n'en finit pas!

Enfin pourquoi demander une fois de plus à nos forces militaires d’intervenir, après les guerres récentes de Lybie et du Mali, alors que l’on ne cesse de réduire leurs budgets et que nous nous enfonçons de plus en plus dans la crise économique? Il faudrait un peu de logique chez nos dirigeants politiques.

Mais surtout, il est vrai que l’histoire ne sert jamais de leçon et sans remonter aux Croisades, les interventions militaires, administratives ou politiques du monde occidental au Moyen Orient durant le siècle dernier, et encore récemment, se sont toutes terminées, sans aucune exception, par un fiasco, et avec des conséquences qui perdurent aujourd’hui ! Les pays du Moyen Orient constituent un monde très complexe auquel, il faut le reconnaître, nous n'avons jamais rien compris!

En attendant Obama et Hollande, les deux chefs d’Etat qui veulent intervenir, poursuivent leurs gesticulations, mais de plus en plus à reculons car ils prennent conscience maintenant que leurs opinions publiques ne sont pas convaincues que leur pays doive intervenir.








mercredi 7 août 2013

Bouc émissariat



Le pouvoir rend-t-il irresponsable ? On peut s’en convaincre en constatant chaque jour les attitudes de nos hommes et femmes politiques.

Avant hier c’était le roi du Maroc, critiqué avec véhémence par son peuple pour avoir gracié un pédophile Espagnol, qui prétendait qu’on lui avait fait signer cette grâce sans lui donner les informations nécessaires. Accorde-t-il ainsi sa grâce sans faire attention ?

Hier c’était la ministre de la culture, sortie de Normale Sup, qui envoyait un tweet bourré de fautes de français et prétendait ensuite, pour sauver la face, que c’était un de ses assistants qui l’avait écrit. Comment alors reconnait-on les tweets de son cru ? (non, ce n'est pas une contrepèterie!)

Aujourd’hui c’est la Ministre Taubira qui fustige les carences de ses prédécesseurs pour faire oublier quelques libérations scandaleuses de malfrats par ses juges. 

Entre deux attitudes qui consistent à choisir, soit d'accepter courageusement les critiques, reconnaître ses erreurs et perdre la face ou ternir sa réputation d’une part, ou se payer carrément la tête des gens d'autre part, les hommes et les femmes de pouvoir n’hésitent jamais et optent toujours pour la deuxième solution. Ils savent sans aucun doute que personne n’est dupe, mais il faut sauver les apparences et aucun d’entre eux n’a le courage d’assumer !

Ils sont tous parfaits, ne se trompent jamais, et si d’aventure ils sont à l’origine d’un problème, pas de souci, c’est la faute des autres ! Et l'on trouve toujours un bouc émissaire! Voilà encore une des multiples formes du mensonge en politique. 

Valérie Trierweiller, elle au moins, a eu l’honnêteté d’assumer la paternité des conneries écrites sur son tweet l’an passé, sans chercher de faux fuyants et quoi qu’il lui en ait coûté. Il est vrai qu’elle est journaliste et qu’elle a sans doute voulu épargner une diversion à des collègues qu’elle sait incrédules et qui font souvent les frais de ces attitudes irresponsables!

mardi 6 août 2013

Taxes, taxes, taxes...




Quand Francois Hollande se rase devant sa glace tous les matins, il doit sans doute se demander quelle nouvelle taxe il va inventer dans la journée ! Bien sûr  ses collègues du gouvernement sont là aussi pour trouver des idées, mais il est responsable et il doit s’assurer que la pression fiscale ne se relâche pas ! Nous sommes en pleine taxitude!

C’est surprenant car tout le monde l’avait cru sincère quand il avait affirmé il y a quelques mois après avoir augmenté considérablement les prélèvements, tout comme son prédécesseur, que c’était fini et que la fiscalité n’augmenterait plus. Mais, depuis, l’avalanche taxatrice déferle sur notre économie comme la grêle qui détruit nos récoltes  .

La dernière née qui nous est annoncée, sans doute pour nous tester, est une nouvelle taxe de 2 milliards d’euros sur les entreprises pour financer des départs en retraite anticipés des salariés qui ont eu une activité professionnelle pénible.

Tout le monde peut être d’accord pour accorder certains privilèges à ceux-ci, mais on peut trouver des financements sans charger encore la barque fiscale des entreprises dont on clame d’autre part que l’on compte sur elles pour créer des emplois.

Pourquoi ne pas financer cette mesure en utilisant la solidarité de tous les salariés et retraités ? Ou mieux pourquoi ne pas trouver l’argent nécessaire en faisant dans les dépenses publiques, les économies dont on ne fait que parler, véritables Arlésiennes de Bizet ? 

Bien évidemment ces nouvelles manœuvres sont destinées à faire avaler plus facilement aux gens de gauche la future réforme inéluctable des retraites : la « patate chaude » de ce gouvernement sur laquelle il sait que son courage sera jugé par tous les Français.

A quoi bon passer ses vacances en parcourant le pays pour faire de beaux discours sur l’emploi et la réduction du chômage, si en même temps on paralyse le développement de nos entreprises en les taxant plus que de raison?

Francois, quand tu es devant ta glace le soir en te brossant les dents, essaie donc de trouver des idées originales pour faire des économies dans nos dépenses publiques! Et puis avant de te coucher tu pourrais aussi relire la parabole de la poule aux œufs d’or !

lundi 22 juillet 2013

Impôts et dépenses publiques




Décidément ce gouvernement ne pense qu’à augmenter nos impôts. On se demande quand il va s’arrêter de jouer ainsi contre  le redressement de notre économie. Il ne s'agit pas de nier la nécessité impérative de réduire notre dette et de rétablir les équilibres budgétaires, mais on reste effaré devant ces augmentations alors qu'aucune réduction significative des dépenses publiques n'est programmée.

Quand une entreprise est en difficulté, sa première action est de réduire rapidement ses dépenses pour améliorer sa trésorerie et diminuer ses coûts, et établir une stratégie pour tenter de rebondir et augmenter  ses recettes en partant à la conquête de nouveaux marchés.

Nos hommes politiques font exactement l’inverse sans doute parce que c'est beaucoup plus facile et plus rapide pour eux d'augmenter les recettes (nos impôts bien sûr!)  que de réduire les dépenses, car là, le courage est indispensable!

Si l’on schématise la situation de la France, on voit que pendant trente années consécutives nos gouvernements de droite comme de gauche ont géré des budgets en déficit et amoncelé une dette de près de 2000 milliards d’euros. C’est à dire que pendant cette période, ils ont dépensé chaque année en moyenne près de 70 milliards d’euros de plus que leur budget de recettes.

Cet argent que nous devons rembourser à servi, et sert toujours aujourd'hui, à maintenir ou à améliorer la protection sociale des Français, à augmenter les salaires des fonctionnaires dont le niveau de vie moyen a largement dépassé pendant cette période celui des salariés du secteur privé, à financer beaucoup de dépenses superflues de l’état et de ses collectivités locales pléthoriques!

Nous sommes toujours actuellement sur cette même lancée, car quand Mr Ayrault annonce fièrement qu’en 2014 nos dépenses vont diminuer de 1 milliard et demi d’euros, tout le monde se rend compte en comparant ce chiffre aux 70 Milliards, que nous sommes très loin de la réduction qu’il faudrait faire !

Il serait très intéressant de faire une simulation de ce que serait, aujourd’hui, la situation des Français et de leurs avantages acquis depuis trente ans, si nos gouvernements successifs avaient eu le courage de voter des budgets en équilibre. 

Le produit de cette simulation serait sans aucun doute une bonne base de départ pour définir dans quels domaines nous devons absolument, en toute efficacité et en toute justice, réduire nos dépenses publiques. Et ce retour modulé à la case départ nous donnerait une très bonne image des avantages que nous avons indument acquis.

François Hollande s’apprête à augmenter encore les impôts pour 2014, car réduire les dépenses publiques ce n’est pas son truc, même si, il faut le reconnaitre, il a symboliquement baissé le train de vie de l'Elysée et de ses Ministres ! Il faudrait quand même que nos pseudos experts en économie lui expliquent que cette politique va nous plonger encore plus dans la récession, et conduire à terme notre pays vers la faillite !

Croissance et beau temps


Francois Hollande attend le retour de la croissance pour redresser l’économie du pays comme on attend le retour de l’anticyclone des Açores pour ramener le beau temps. Il s’est résigné à n’avoir pas plus de pouvoir sur l’une que sur l’autre!

Bien sûr il s’y prépare ! Il faut se doter de tenues vestimentaires légères, se préparer du temps libre, retrouver les lunettes de soleil pour profiter pleinement du soleil qui, c'est sûr, va revenir un jour !

C’est ainsi que l’on crée une banque d’investissements, on allège (un peu) les charges des entreprises,…des initiatives utiles certes mais insuffisantes et de caractère statique.

Aucune action motrice d’envergure n’est envisagée : la croissance ne peut venir que d’ailleurs et des Etats Unis par exemple!  C'est toujours la même erreur!  Nous pouvons, nous devons être les initiateurs de cette croissance.

La croissance est un véhicule qui possède un moteur et des freins. Il est vain, et risqué, de se contenter de faire du stop quand il passe prés de nous !  Il faut essayer de se mettre à la place du conducteur, seul moyen de contrôler notre destin.

On peut alors lâcher ou desserrer les freins que sont les taxes en tous genres, les règlementations étatiques contraignantes, fardeaux pour notre économie qui pèsent lourdement sur nos entreprises.

On peut mettre du carburant dans le moteur en attirant et en motivant les investisseurs et les créateurs d’entreprises, et en les assurant que l’état ne leur prendra demain l’argent qu’ils gagneront en risquant leurs capitaux aujourd’hui.

Et puis remettre les Français au travail en leur donnant la possibilité de travailler quand et autant qu’ils le souhaitent dans leur intérêt personnel et celui du redressement de notre économie. Les convaincre qu’ils sont les seuls à pouvoir redresser la situation de leur pays.

On peut ainsi conduire en toute sécurité, notre pays sur la route du développement d’activités dans les secteurs qui nous apparaissent comme les plus porteurs pour l’avenir.

Pour faire cela, il faut établir une stratégie et un plan d’action volontariste, et surtout tenir un langage clair à nos compatriotes, un langage adapté au monde capitaliste dans lequel nous vivons, et non, comme c’est le cas, des propos ambigus et à géométrie variable selon que nos responsables politiques s’adressent aux entrepreneurs ou à leur parti.

La sortie de la crise économique actuelle ne suffira pas à ramener la croissance, car les dégats causés à notre industrie par la mondialisation seront très difficiles et très lents à réparer. Raison de plus pour relever les manches dès maintenant.

Mais au fait, à quoi sert notre Ministre du Redressement Productif?