mardi 27 mars 2018

Les pays occidentaux à la recherche de la guerre froide avec la Russie


 Le crime abominable perpétré en Grande Bretagne contre un ancien espion, agent double Anglo-Russe ou Russo-Anglais, sert de prétexte aux Américains, et à leurs « caniches » Européens, pour reprendre tranquillement le chemin de la guerre froide. Leur empressement à expulser de leur pays quelques diplomates Russes peut laissee supposer qu’ils n’allaient pas rater une telle l’occasion !

Ce crime a forcément, nous dit-on, une origine Russe de part la nature du poison utilisé et on peut l’admettre car c’est en effet un produit développé en Russie dont l’utilisation et la manipulation est très délicate. Wladimir Poutine a nié que son gouvernement ait été à l’origine de cette tentative de meurtre. Mais peu importe, il n’y a pas de présomption d’innocence dans les accusations internationales, il est déclaré coupable et condamné. Point!

Si des preuves peuvent être apportées par les Anglais sur l’implication effective, ou en tant que commanditaire, du pouvoir Russe, qu’ils nous les fournissent ! Nous savons que Poutine, ancien patron du KGB, est capable de ce genre d’action, mais en attendant, nous n’en sommes qu’au niveau des convictions : c’est peu pour menacer la paix de notre planète !

Poutine se défend en donnant des arguments qui ne sont pas sans faire réfléchir. Pourquoi aurait-il ordonné ce crime aujourd'hui quelques jours avant le vote en Russie pour sa réélection, alors que cet espion pouvait être une cible depuis une quinzaine d'années ? Pourquoi l’aurait-il fait à trois mois de la Coupe du Monde de football dans son pays dont il veut faire un grand événement, et qui par cette action risquait d'être boycotté ?

Imaginons que ce crime ait pour origine une tentative individuelle d’individus, anciens du KGB par exemple, qui auraient pris le contrôle de ce poison, afin de régler des comptes anciens. Un dangereux précédent serait ainsi créé:  la rupture des relations diplomatiques avec un pays dont un ressortissant a commis un crime sur notre territoire !

Nous l’avons souvent répété, l’intérêt des Européens est d’avoir des bonnes relations avec la Russie (avec ou sans Poutine) et ce n’est pas celui des Américains ! Poutine est souvent amené à des actions que nous désapprouvons et c’est en grande partie la conséquence de notre volonté continue de fustiger et d’isoler son pays.

Nous avons déjà oublié qu'en isolant et en humiliant l'Allemagne après la première guerre mondiale, nous avons provoqué la naissance de l'Hitlérisme dans ce pays, et que nous avons ensuite créé l'Europe, pour éviter une fois pour toutes des comportements irrationnels chez nos voisins! Quand donc nos hommes politiques Français vont-ils comprendre,  admettre cela, et changer leur attitude vis à vis de la Russie?


Mais ne dramatisons pas trop la crise naissante actuelle, car les réactions sont pour l'instant modérées. Virer de par et d’autre quelques dizaines de diplomates, n’est qu’une gesticulation spectaculaire qui n'engage à rien et n’émeut pas beaucoup ceux-ci qui ont l’habitude de déménager souvent!  Décider qu’aucun représentant de la famille royale Anglaise n’assistera à la Coupe du Monde à Moscou est un évènement qui ne perturbera pas gravement le déroulement de la compétition! 

lundi 26 mars 2018

La "remise en cause des Services publics".


C’est l’expression à la mode aujourd’hui. La moindre réforme entreprise aujourd’hui par le gouvernement est immédiatement stigmatisée comme une menace sur la vie quotidienne des Français. On veut modifier le statut des cheminots, c’est le service public qui est menacé ! On veut réduire le nombre de fonctionnaires, c’est le Service public qui est attaqué, On veut réorganiser les lignes très déficitaires de la SNCF, c’est le service public que l’on veut casser !
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La défense du service public est devenue un prétexte, un alibi pour lutter contre le changement et camoufler les revendications du personnel! Tous les propos mensongers sont bons pour les syndicat ou les opposants au gouvernement afin de défendre à courte vue des intérêts corporatistes et bien sûr au détriment de l’intérêt général.

Il serait bon de remettre à plat la définition des services publics et de définir les activités dans lesquelles le rôle de l’Etat est absolument nécessaire. Cet exercice n’a jamais été fait et nos services publics actuels ne sont que l'héritage du passé. Dans une société en pleine mutation et dans laquelle la compétition, qu’on le veuille ou non, oblige toutes les structures d’entreprises à s’adapter en respectant de règles mondialisées, il serait logique de redéfinir ce rôle de l’Etat.

Les défenseurs du système actuel, qu’ils ne veulent surtout pas voir changer, estiment que les services publics n’ont pas être rentables et qu’il est normal qu’ils perdent l’argent comme à la SNCF par exemple. Est-ce que les pompiers ou l’Education Nationale doivent être rentables demandent-ils ? Mais ils mélangent à dessein des services publics très différents dont le périmètre mérite d’être redéfini.

Le secteur marchand, transports, ventes de voitures ou d’avions, vente d’électricité, la poste, le téléphone, par exemple, doit lui être rentable puisqu’il est maintenant soumis à la concurrence mondiale. L’Etat qui s’est déjà beaucoup désengagé peut fort bien rester dans ce secteur, mais  à la condition qu’il gère ces activités en étant compétitif, faute de quoi ce sont les contribuables qui financent les utilisateurs de ses produits ou de ses services.


Nos défenseurs ont un autre argument qui peut avoir sa valeur et qui porte sur l’aspect stratégique de certains services dépassant les fonctions régaliennes de l’Etat, comme l’énergie ou les transports. Ils prétendent que ces activités sont vitales pour le pays. On peut leur objecter que notre premier besoin vital est de très loin l’alimentation qui dans aucun pays n’a jamais été, sauf en cas de crises très graves, organisée et gérée par l’Etat !

dimanche 25 mars 2018

Encore et toujours Nicolas Sarkozy !


Rarement un Président aura fait autant parler de lui après avoir quitté le pouvoir.
Ses « affaires » successives, ses mises en examen à répétition, continuent de passionner l’opinion ou du moins nos journalistes qui par leur activisme la conditionne.

Les médias se sont transformés aujourd’hui en véritables procureurs déclarant de fait les personnes coupables avant même que la justice n’ait commencé à ouvrir un dossier. Il est en effet curieux de voir nos chroniqueurs ou éditorialistes patentés prendre position sur un dossier qu’ils ne connaissent absolument pas, accusant à tout va à longueur de débats, colonnes de journaux : cela fait de l’audimat ou vendre du papier.

Peu importe s’ils se trompent, il suffira plus tard de trois lignes pour annoncer un non lieu ! Le métier de journaliste consistait autrefois à informer l’opinion sur ce qui se passait dans de monde. Aujourd’hui les informations ne suffisent plus, il faut en créer par des enquêtes menées en général à charge pour la recherche du sensationnel, et cela bien sûr au détriment de présumés innocents!

La présomption d’innocence n’existe plus. Il y a quelques années nous avons inventé la mise en examen pour ne plus utiliser le mot inculpation dont le sens était devenu infamant. Eh bien c’est raté ! Ce nouveau vocable est maintenant pour les justiciables, encore pire que le précédent !

Et pourtant cette procédure de mise en examen est nécessaire, non pas pour montrer du doigt tel ou tel, mais pour informer un prévenu des charges recueillies qui pèsent contre lui et lui permettre de se défendre en lui donnant en particulier accès au dossier. Ceci dit on pourrait peut-être en éviter la médiatisation qui, avant tout procès, pèse sur l’opinion et immanquablement sur la conscience des juges, mais ceux-ci, semble-t-il, adorent laisser filtrer quelques informations lors de leurs investigations !

Que dire du cas Sarkozy et de son prétendu financement de campagne électorale 2007 avec des fonds Lybiens ? Il est difficile de se faire une opinion car il n’y a apparemment aucune preuve matérielle, seulement des déclarations suspectes de gens de réputation douteise et ayant peu ou prou intérêt à faire ces déclarations peu engageantes ou risquées, contre lui. Aucune personne sérieuse ne peut à ce jour se prononcer !

Cela n’empêche pas nos médias de continuer leurs affirmations malveillantes et irresponsables en affichant leurs certitudes, comme le « procureur » Médiapart »  qui accuse ouvertement, sans preuves crédibles, l’ancien Chef d’Etat, ou ceux qui se croient malins en évoquant le ressentiment des juges qui voudraient soit disant « épingler » Nicolas Sarkozy, ou bien encore ceux qui prétendent, sans rire, que le but de la guerre en Lybie était d’éliminer Khadafi, témoin gênant de cette affaire !

La justice prend son temps ; il serait souhaitable qu’elle retrouve une certaine sérénité à l’abri des médias, d’autant plus qu’il lui arrive de se tromper comme il y a peu dans le cas de l’affaire Béttencourt qui s’était terminée par un non lieu pour Nicolas Sarkozy et ses amis, après une effervescence médiatique sans précédent.Ceci n'a d'ailleurs pas eu pour effet de calmer aujourd'hui l'ardeur de nos commentateurs! 


Les faits remontent à 11 ou 12 ans, Nous pouvons attendre pour voir quelle vérité sera plus tard éventuellement "décidée" par la Justice, si toutefois elle est en mesure de se prononcer autrement que par un nouveau non-lieu!

samedi 24 mars 2018

Afrin : l’honneur perdu des pays occidentaux !


Après des bombardements sauvages, et aidés par des troupes djihadistes au sol de Daech, l‘armée Turque vient d’envahir la ville d’Afrin, où habitaient les populations Kurdes de Syrie, sans que cela suscite la moindre réaction des pays comme les Etats Unis, la France ou la Grande Bretagne. C’est un vrai scandale à plusieurs titres.

Tout d’abord on sait que Erdogan qui dirige le pays Ottoman a des problèmes avec son ethnie Kurde, qui à la faveur des découpages territoriaux arbitraires décidés an Moyen Orient entre les deux guerres principalement par la Grande Bretagne et ses alliés, s’est retrouvée dispersée entre quatre pays ; la Syrie, l’Irak, l’Iran et la Turquie .

Le but pour lui est clairement d’éradiquer sa minorité Kurde et d’éviter absolument que ne se crée un état Kurde à ses frontières qui constituerait pour lui une menace. Les pays occidentaux vont-ils regarder passivement ce génocide comme ce fut naguère le cas pour celui des Arméniens ?

Et puis il faut se rappeler que très récemment, nos pays qui n’ont pas eu le courage d’envoyer des troupes au sol pour lutter contre Daech, se sont appuyés sur les combattants Kurdes qui se sont battus courageusement pour vaincre cette organisation terroriste, faisant pour eux le "sale boulot" et sans lesquels ils n'auraient pas pu détruire ce califat! Et nous laissons maintenant gaillardement, quelques semaines plus tard, ces précieux alliés se faire massacrer sans la moindre pression sur notre "allié " d'Ankara pour mettre un terme aux combats !

Combien de temps allons nous tolérer que la Turquie, notre partenaire de l’OTAN, continue de faire cavalier seul, de mener des actions contraires à notre éthique, et de poursuivre son jeu ambigu avec Daech pour défendre ses propres intérêts ? Les Etats Unis ont-ils peur de voir la Turquie basculer dans le camp de la Russie, leur grand ennemi choisi par principe?

Après la chute d’Afrin, il n’y a pas eu la moindre condamnation des pays occidentaux qui n'ont exprimé que des "préoccupations" (sic). La France a simplement demandé que la Turquie permette l’accès à l’aide humanitaire ! « On vous a laissé massacrer les populations Kurdes, alors laissez nous maintenant, pour ménager notre bonne conscience, panser leurs plaies ! ».

Nous montrons d'ailleurs notre inconséquence en acceptant sans réagir que le pouvoir Turc envahisse, en l'assumant, un pays avec des armes lourdes (avions et chars) pour tuer ses ressortissants Kurdes, alors qu'il y a peu, lorsque quelques troupes au sol Russes avaient envahi l'Ukraine pour défendre leurs compatriotes locaux menacés, et sans que cette action n'ait été revendiquée par Moscou, nous avions multiplié contre Moscou les sanctions économiques et les criailleries internationales!

Et si d'aventure la Turquie décidait demain d'annexer ces territoires Syriens pour régler son problème avec les Kurdes, comme cela se ferait sur le dos de l'affreux Bachar El Hassad, il y aurait peu de chances que nous réagissions comme nous l'avons fait lors de l'annexion de la Crimée ancien territoire Russe!

Depuis les croisades, en passant par les colonisations et les guerres plus récentes, les pays occidentaux ont commis énormément d’erreurs dans leurs interventions au Moyen Orient qui se sont toutes traduites par des fiascos. Ils sont en général intervenus militairement dans cette région quand il ne le fallait pas et se sont abstenus quand il fallait intervenir!

Cela s’explique en grande partie par leur incapacité de tous temps à comprendre cette région! 
A cette incompréhension, et donc cette incompétence, ils viennent aujourd'hui d’ajouter la duplicité et la lâcheté !



mardi 13 mars 2018

Conflit d’intérêt aux Parlements


 La promesse d’Emmanuel Macron pour la réduction du nombre de députés et sénateurs, voulue par la grande majorité des Français, va être difficile à réaliser car ce sont les intéressés eux-mêmes qui doivent  prendre cette décision! Il ne sera pas facile en effet pour nos élus de choisir entre les intérêts du pays qu'ils sont supposés défendre et leur intérêt personnel.

Cette réforme est sans aucun doute justifiée, car nous avons en France un nombre trop important de parlementaires en comparaison avec d’autres pays. A l’heure ou il est aussi question de restructurer et réduire les sureffectifs de la fonction publique, elle a aussi une valeur symbolique puisqu’elle touche en plus des gens que les contribuables considèrent comme des nantis qui ont dans le passé montré qu’ils cumulaient trop d’avantages,  à leurs frais!

Le travail législatif peut se faire avec un nombre réduit de députés et sénateurs, d’autant plus que la suppression du cumul des mandats va laisser à nos élus beaucoup plus de temps pour travailler à l'étude, la discussion et le vote de nos lois

Mais nos parlementaires ont un emploi précaire, et réduire leur nombre va limiter considérablement leurs chances de retrouver une fonction, un emploi, même si la suppression effective du cumul des mandats et leur limitation dans le temps, aussi voulue par le pouvoir, leur donne une petite chance supplémentaire de se recaser.

Comme dans tous les domaines dépourvus de sécurité d’emploi, le privé par exemple, on ne trouve en effet jamais d’individus désireux de se faire hara kiri pour supprimer leur emploi, leur gagne pain, et c’est une attitude que l’on peut comprendre. C’est bien le cas de nos élus qui vont devoir décider eux-mêmes, en Congrès, de voter cette loi que le gouvernement devrait leur proposer !

Cette nouvelle loi pourrait être votée relativement facilement par une majorité de députés fraichement élus, composés d’une grande partie renouvelée venant de la société civile et qui peuvent retrouver un emploi facilement, ou de fonctionnaires qui gardent un emploi à vie. C’est beaucoup plus difficile par contre pour les sénateurs qui font une carrière politique et sont  depuis toujours installés dans des mandats de longue durée !

Cette réforme est d’autant plus compliquée qu’elle arrive tardivement au moment ou l’on  a supprimé le cumul des mandats et ou les parlementaires menacés dans leur carrière politique, qui ne peuvent plus gagner leur vie en s’appuyant sur un autre mandat,  peuvent se retrouver plus facilement du jour au lendemain sans ressources. 

Un referendum populaire est bien sûr possible, il peut se justifier par le fait que dans notre démocratie, aucun élu ne doit prendre  part a un vote lorsque ses intérêts personnels sont en jeu! Mais ce n’est pas une bonne solution. D’abord parce que cela constitue un passage en force qui défierait nos Parlements, et ensuite parce qu’il est bien connu que les électeurs y votent rarement en réponse à la question posée !  

Pourquoi ne pas faire une réduction progressive du nombre d’élus qui passerait plus facilement ? Comme cette réforme est plus symbolique, qu’efficace sur le plan des finances (ce n’est pas elle qui va redresser notre économie !), on pourrait l'étaler sur plusieurs mandats. Ceci nécessiterait bien sûr de refaire à chaque élection les découpages électoraux, mais en procédant par exemple progressivement par régions (les députés et sénateurs, nous ont montré dans le passé qu’ils étaient géographiquement mobiles !) cela serait assez simple et permettrait peut être d’avoir un consensus parlementaire sur cette réforme.


Cette méthode pourrait aussi introduire une période conditionnelle plus longue d’indemnisation du chômage des élus ayant perdu leur mandat, pour leur donner le temps de se réinsérer dans la société civile.

dimanche 11 mars 2018

La grenouille Kim Jung Un et le bœuf Donald Trump


L’invitation de notre petit dictateur lanceur de missiles qui propose une réunion au Président des Etats Unis nous rappelle la fable de La Fontaine. Tout ce que cet énergumène dit ou décide est une gigantesque communication destinée à son peuple et aussi au reste du monde à qui il veut montrer sa puissance. Il pense sans doute que rencontrer en tête à tête le Président des Etats Unis le valorise énormément auprès de tous, car il veut donner l’impression de jouer d’égal à égal avec le pays le plus puissant de la planète !

Donald Trump semble vouloir accepter cette invitation, on ne sait pas s’il en a mesuré les risques. Mais toutes les initiatives pour éviter des conflits armés sont bonnes, même si leurs chances d’aboutir sont très faibles.

On ne connaît pas les motivations de Kim Jung Un. Son pays souffre-t-il des sanctions économiques internationales qui pèsent sur lui au point ou il veut négocier un accord pour les lever?  Ou bien est-il simplement en train de nous préparer un nouveau coup d’éclat: mettre l'échec des négociations sur le dos des USA et justifier ainsi sa volonté de poursuivre l'armement de son pays pour prétendument se défendre ? Est-il poussé par la Chine pour trouver un accord qui mettrait fin à ses rodomontades belliqueuses ?

Pour Donald Trump c’est un piège. Il a déjà lui même fait la preuve de son irrationalité, et là, il va rencontrer un maitre en la matière ! Il a intérêt à bien préparer cette réunion potentielle. C’est une erreur à notre avis d’accepter une réunion bilatérale et il vaudrait mieux faire participer d’autre pays qui seraient les témoins des discussions. Pourquoi ne pas inviter la Chine et la Russie, acteurs clés dans la région et voisins de la Corée du Nord ?

C’est sans doute trop demander au Président des Etats Unis, il va de plus devoir affronter ses lobbies militaro-industriels qui se satisfont très bien d’une menace de conflit armé susceptible de garantir l’augmentation de leurs moyens ou de leurs commandes !

Le Président Trump ne peut pas tergiverser, car il justifierait ainsi de nouvelles démonstrations et tirs de missiles du dictateur Coréen, qui lui seraient fatalement imputés. Mais il risque aussi de se mettre en totale contradiction avec sa volonté d'annuler l’accord passé par son prédécesseur avec l’Iran, signé dans un contexte similaire portant sur la dénucléarisation !

La Grenouille Nord Coréenne veut se faire aussi grosse que le bœuf Américain, on ne sait pas si elle va crever comme dans la fable, mais il est certain que le bœuf risque lui d’y laisser quelques "plumes"! Il s’en moque d’ailleurs peut-être éperdument !